Orimaru. Mon Orimaru. Je suis tellement heureux. Tu es là, à mes côtés, mais tu ne dois pas me voir. Tu aurais trop peur. Je ne veux pas que tu aies peur de moi, mon amour, alors je vais retirer tes yeux.
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Oh, Orimaru! Je n’aime pas entendre tes hurlements de douleur. Je suis désolé. Désolée d’avoir arraché tes beaux yeux. Ils vont me manquer. Je sais. Laisse-moi te donner du plaisir, mon amour. Ainsi tu n’auras plus mal.
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Mes doigts caressent tes cheveux, massent tes oreilles pointues, titillent ton gros nez. Mes tentacules entrent et sortent de ton beau trou du cul. D’autres tentacules jouent avec ta divine bite. Je te fais jouir encore et encore. Ma langue lèche ta poitrine, me délecte de ta sueur. Mon grand pénis se frotte contre ta chair.
« Orimaru. » Te dis-je, doucement. « Mon cher capitaine, je t’aime. »
Mais il a toujours mal. Je ne veux pas qu’il souffre. Je vais lui faire perdre connaissance et l’amener après des personnes qu’il aime. Sa femme Pedrina, ses enfants Omar et Opal. Cela va le rendre heureux.
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Pendant que mon bel Orimaru dort, je vais modifier son corps pour qu’il puisse porter mes enfants. Je lui donne des seins de femmes, une merveilleuse chatte et un utérus. Regarder sa chatte me remplit de désir. Je ne peux pas attendre qu’il se réveille, je dois entrer en lui maintenant! Mon pénis entre dans son tunnel. Je gémis.
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Orimaru s’est réveillé. Il n’est pas content. Il hurle de rage, de désespoir. Je ne comprends pas pourquoi. N’est-il pas heureux avec moi? Il m’ordonne d’arrêter, de le laisser partir.
« Pourquoi, mon doux Orimaru? Je t’aime. »
« JE VEUX RETOURNER SUR HOCOTATE! JE VEUX REVOIR MA FEMME ET MES ENFANTS! »
Je ris à ses paroles.
« Hokotatey? Je l’ai dévoré il y a longtemps. »
« Q…Quoi? »
« La planète et tous ses habitants. Je suis l’un des Dieux Anciens. J’étais né sous une forme primitive, mais mon réveil est arrivé. Je suis Le Dévoreur. Tout sera consumé. »
« NON, NON, NON! »
« N’ait pas peur, mon beau Orimaru, l’univers sera ensuite recréé. En tant que mon compagnon, tu pourras faire renaitre Hokotatey si tu le désires. »
« C’est impossible! Ma famille ne peut pas être morte! JE VEUX LA VOIR TOUT DE SUITE! »
« Comme tu le désires, mon amour. »
Mon bel Orimaru perd connaissance alors que j’éjacule en lui.
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Il est à nouveau réveillé. Je pénètre toujours sa divine chatte. Orimaru me demande qui je suis.
« Je suis un Dieu Ancien. »
« Quel est ton nom? »
« Tu le connais déjà, mon cher Orimaru. Tu es mon capitaine, après tout. »
« L…Lou…Louie? NON! JE VEUX ME RÉVEILLER DE CE CAUCHEMAR! »
« Tes désirs sont mes commandements, mon amour. »
Je lui fais perdre à nouveau connaissance. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne veux pas qu’il connaisse mon nom. Pourtant, j’aimerais tellement qu’il me le dise. Louie, Louie, Louie.
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Mon doux Orimaru retourne, encore et encore, aux pays des rêves. Sa grossesse avance bien. Je suis heureux.
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Après qu’Orimaru découvre qu’il est enceint, il me supplie de le tuer.
« Je ne peux pas faire cela, mon amour, mon Orimaru. »
« Alors, dévore-moi! »
« NON! Tu attends des enfants de moi! N’es-tu pas heureux auprès de moi, dans ma dimension? »
« Non, pas du tout! Je veux mourir! »
« Je ne peux pas réaliser ce souhait, mon cher capitaine, mais je peux te cuisiner à manger. Qu’aimerais-tu? Des carottes Pikpik dorées en soupe? »
« Dis-moi ton nom! En tant que ton capitaine, je te l’ordonne. »
Oh, Orimaru, mon Orimaru, pourquoi as-tu prononcé ces mots? Je n’ai plus le choix maintenant. Je dois lui dire mon nom.
« Louie. Mon mon est Louie. »
Depuis, mon amour n’essaie plus de fuir, de se débattre, de me parler. Il est mon amour et la « mère » de mes enfants pour l’éternité. Pourtant, je suis triste. Je veux qu’il me parle, qu’il me dise « je t’aime, Louie ».
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Quand l’univers est prêt à être recréé, après que j’ai tout dévoré, je demande à mon amour s’il a une requête spéciale, s’il veut faire renaitre sa planète, son ex-femme et ses enfants. Orimaru ne me répond pas. C’est triste. Il ne parle jamais à nos enfants. Quand ils me demandent pourquoi Papa Orimaru est comme ça, je ne sais pas quoi leur répondre.
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« Orimaru. Mon Orimaru. T’aurais-je brisé? Dis quelque chose, je t’en prie. Rien? Très bien. Je peux toujours t’offrir du plaisir. »
Mon bel Orimaru gémit alors que je baise tous ses trous avec douceur.